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L’économie maritime emploie 525.000 personnes en France

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Selon un rapport de l’Ifremer publié le 8 novembre dernier, le nombre d’emplois maritimes à augmenté de 14% entre 2013 et 2019, notamment grâce au tourisme littoral qui, selon le rapport, représenterait à lui seul plus de la moitié de la valeur ajoutée maritime et les deux tiers des emplois maritimes.

«L’activité a retrouvé en 2019, un chiffre d’affaires équivalent à celui d’avant la crise économique de 2008, mais le nombre d’emplois est resté néanmoins inférieur», a souligné Régis KALAYDJIAN, économiste à l’Ifremer et coauteur du rapport «Données économiques maritimes françaises 2021».

Après le tourisme littoral viennent les secteurs des produits de la mer, de la construction navale et du transport maritime et fluvial. Chacun de ces secteurs représente 5 à 7% de la valeur ajoutée et des emplois.

Le secteur public non marchand (marine nationale, protection de l’environnement, intervention de l’Etat
en mer…) représente de son côté 8 à 9% du secteur maritime total.

L’économiste à précisé que «le prochain rapport devrait permettre de voir si la part des énergies marines
renouvelables, aujourd’hui mineure, sera devenue plus significative, à la faveur des politiques publiques sur le changement climatique […] Nous pourrons également évaluer les impacts sur l’économie maritime de la crise Covid».

François HOULLIER / PDG de l’Ifremer considère que ces informations « mettent en lumière les évolutions du monde maritime et évaluent la « valeur » que notre société retire de l’océan, ce bien commun qui nous offre par ailleurs des services écosystémiques qui mériteraient eux aussi d’être pris en compte ».

Les activités maritimes pèsent environ 1,5 % du produit intérieur brut et emploient 1,7 % de la population
active, un poids comparable à celui d’autres pays, comme l’Allemagne et les États-Unis.

Source : L’Antenne 08.11.2022. / Photo ©E. HOURI/Station Pilotage LH-Fécamp

L’employé Import/Export

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L’employé import / export a pour mission d’importer ou exporter des marchandises pour le compte d’un client dans le respect des contrats établis ainsi que des réglementations et procédures en vigueur.

En fonction du type de marchandise que le client lui confie, il doit rechercher et sélectionner les différents prestataires impliqués, seul ou en collaboration avec un service commercial.

Il doit se tenir au courant du déroulement du transport, transmettre l’information aux Acteurs de la chaîne et établir les factures. d’une formation Bac+2 dans le Transport, le Transport et Logistique ou le Commerce international, cet employé doit faire preuve d’un bon relationnel, de rigueur/d’organisation et de disponibilité. Il doit maîtriser l’outil informatique.

Il peut exercer son métier chez un armateur, un agent maritime, un commissionnaire de transport ou chez un logisticien.

Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

Le Déclarant en Douane

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Comme son nom l’indique, le déclarant en douane a la responsabilité de la déclaration en douane des marchandises, en importation ou exportation. Il est l’intermédiaire entre les services de transit et comptable des clients et l’Administration des Douanes. Lire la suite

L’Organisteur de Transport

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Le terme « Organisateur de Transport » regroupe plusieurs métiers :

  • Le Groupeur qui consolide les marchandises provenant de différents expéditeurs pour remplir aussi complètement que possible conteneurs et camions. Le Groupeur possède donc un entrepôt avec des quais, du matériel et du personnel de manutention.
  • L’Affréteur qui opère un rapprochement entre clients et voituriers moyennant une commission d’affrètement. Il prend à sa charge le transport qu’il négocie à l’achat comme à la vente mais ne possède ni entrepôt ni personnel et matériel de manutention. Il est donc contraint d’organiser ses transports en expédiant le véhicule de transport directement de chez l’expéditeur pour une livraison directe chez le destinataire. Il est donc obligé de traiter des lots conséquents : on estimait autrefois que les lots d’affrètement devraient faire au moins trois tonnes. Aujourd’hui, les affréteurs traitent des lots de 1 tonne et plus.
  •  L’Exploitant de bureau de ville  qui prend en charge des colis ou expéditions de détail et les remet séparément aux transporteurs ou à d’autres commissionnaires. Il ne s’occupe pas du transport mais seulement de la remise au transporteur ou au client selon qu’il s’agit d’une expédition ou d’une réception.
  • L’Organisateur de transport international également souvent appelé « Transitaire » . En fait c’est un commissionnaire de transport et en douane qui gère la chaîne logistique multimodale de chez l’expéditeur jusque chez le destinataire, parfois à l’autre bout de la planète. Il dégage le client de toutes les questions  de transport, d’assurance, de dédouanement, de choix des modes… Il dispose d’un réseau de correspondants à l’étranger.

 Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

 

L’avitailleur

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L’avitailleur (shipchandler) est la société qui approvisionne les navires en marchandises nécessaires à la vie quotidienne à bord.

La commande des marchandises peut être faite par l’armateur, son agent ou le capitaine du navire. Dans ce dernier cas, le budget alloué à l’armateur est géré par l’équipage qui en confie l’exécution au capitaine. Il arrive également que les provisions de bouche soient commandées par une société de management à qui l’armateur confie ces opérations. L’avitailleur est en contact avec l’Administration des Douanes pour la déclaration des marchandises qu’il réceptionne et qu’il livre.

 Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

L’expert maritime

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Sous le code napoléonien a été mis en place, dans les arsenaux militaires, le corps de commissaires d’avaries.

Ils sont les premiers experts maritimes connus et étaient en fait des administrateurs publics chargés de coordonner et de planifier les réparations des voiliers suite à des sinistres, évènements de mer ou à une campagne militaire.

Avant la seconde Guerre Mondiale, la profession d’expert maritime n’existait pas véritablement. Les experts maritimes étaient alors des ingénieurs du génie maritime dans le domaine du commerce et les architectes navals dans le domaine de la plaisance ou des officiers de pont ou mécanicien en retraite.

Dans les années 50, les compagnies d’assurance commencent à établir des listes d’experts qu’elles mandatent selon des critères purement économiques. Dans les années 60-70, la profession évolue et se diversifie.

Aujourd’hui, l’expert est un technicien ayant une grande connaissance de toutes les technologies maritimes, acquise par la formation technique et l’expérience. Toutes les compétences requises pour cette activité peuvent s’acquérir aussi bien par voie autodidacte que par une filière de formation d’ingénieur ou d’école maritime.

Une centaine d’experts maritimes sont recensés en France par l’annuaire du nautisme selon la FIEM, Fédération Internationale des Experts et Conseils Maritimes, association professionnelle créée en 1983.

Un expert maritime intervient à la demande de divers donneurs d’ordre du monde maritime, qu’ils soient professionnels, assureurs, administratifs…

Auprès des assureurs, il peut s’agir de préconiser des mesures conservatoires, d’identifier le bien endommagé, de déterminer l’origine du sinistre, de procéder éventuellement à la mise en cause du ou des responsables, de décrire les dommages, d’en chiffrer le montant, d’évaluer le taux d’usure et la vétusté d’un navire…

Côté administratif, l’expert peut intervenir, auprès des Douanes, par exemple pour la détermination de la valeur d’un navire en cours d’importation, ou auprès des services fiscaux pour la détermination de la valeur d’un navire entrant dans un actif successoral ou encore auprès des tribunaux civils ou de commerce pour des expertises judiciaires.

Auprès des professionnels, il peut être missionné par des revendeurs pour examiner des navires à la vente en vue d’en constater l’état, déterminer les différents travaux à réaliser ou par des chantiers pour suivre les travaux, constater des manquements…

Il peut être également amené, dans le cadre d’expertises contradictoires, amiables ou judiciaires, à réaliser des examens d’avaries de navires, de marchandises ou d’installations portuaires…

L’expert maritime, qui peut exercer son métier dans le cadre d’une société en profession libérale, soit comme salarié, peut également agir pour le compte d’une société de classification de navires. L’expert maritime, comme tout autre expert, est un technicien, mais n’est pas un juriste.

 Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

Le Conducteur en Douane

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Ce terme a remplacé le terme de courtier maritime quand celui-ci a vu son privilège disparaître en Europe. Lire la suite

Le Courtier Maritime

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Le courtier maritime est l’une des plus anciennes professions du Maritime disposant d’un statut bien établi. Elle trouve sa source dans l’Edit de Décembre 1657 rédigé sous Louis XIV et c’est l’ordonnance du 14 Novembre 1835 qui fixera définitivement l’activité des Courtiers Maritimes.

En France, le courtier maritime était un Officier Ministériel nommé par le Chef de l’État. Cette charge a été abolie par la loi de Janvier 2001 prenant effet le 21 Mars 2004.

Le courtier maritime assure pour le compte d’un armateur un certain nombre d’obligations administratives. Il est surtout l’intermédiaire commercial entre les chargeurs (entreprises ayant du fret à transporter) et les transporteurs (armateurs ou navires). Il négocie aussi les contrats d’affrètement, c’est-à-dire de location de navires.

Il peut intervenir dans la vente et dans la construction de navires. Pour travailler chez un courtier, il faut avoir les mêmes compétences que chez un transitaire.

Le courtier peut aussi négocier la couverture des risques auprès des compagnies d’assurance. En particulier, il négocie :

  • Pour l’armateur, la couverture des risques liés à la navigation,
  • Pour le chargeur, la couverture des risques concernant le fret.

 Il prépare et fait signer par les parties les contrats correspondants. Il est rémunéré à la commission.

Il n’existe pas de formation spécifique. Le courtier d’assurance doit avoir des connaissances en droit des assurances, en droit des transports et en droit maritime. La plupart des formations délivrées dans les universités conviennent.

Quelques témoignages, valeur d’exemples, de personnes travaillant chez un courtier maritime au Havre :

Après une formation « Employé de Transit et Consignation » à la CCIH, Karl a effectué des emplois saisonniers au sein d’armements et d’agents maritimes représentés au Havre. Désormais assistant import au sein d’un Cabinet de Courtage Maritime, il déclare : « par ce poste, je pratique l’anglais chaque jour. Mon travail me permet de mieux connaître les rotations des navires dans les différents ports. Pratiquer AP+* au quotidien m’a appris la procédure de mise en douane. Mon expérience m’enrichit également dans mes connaissances des différents pays et leurs ports ainsi que les alliances qui peuvent exister entre les Armements. »

 Isabelle a suivi une formation de « Secrétaire des Services Portuaires » chez CCI & CAUX Formation de Montivilliers. Après une première expérience dans la consignation import et un poste lui permettant la traduction de rapports d’expertise, elle devient assistante import dans un cabinet de courtage. Elle déclare : « mon expérience me permet de mettre en pratique la théorie acquise notamment sur AP+* mais également de mieux comprendre les échanges entre divers services. Cela me permet également de développer des relations et contacts avec la Clientèle. Désormais, je suis capable d’être réactive, de prendre des initiatives et de traiter un dossier navire depuis la déclaration des marchandises jusqu’à sa clôture. »

 Témoignages

Après un cursus en droit, Florian est aujourd’hui titulaire d’un premier Master 2 en droit maritime et d’un second en droit des assurances. Désormais attaché de clientèle dans un cabinet de courtage spécialisé en Assurance Transports, il déclare : « par ce métier, j’ai pu travailler en coopération avec les différents intervenants de la branche Transports et rencontrer les industriels de la région ». Quant à Bérangère, gestionnaire des sinistres dans une compagnie d’assurances maritime et Transport, c’est un master 2 en Droit de la Mer et des Activités Portuaires à la Faculté des Affaires Internationales du Havre, qui lui a donné accès à cette profession. « Ce métier m’a permis de mettre en application les connaissances acquises tout au long de ma formation juridique. J’ai également pu développer la dimension commerciale, étant chaque jour au contact de nos clients qui sont des acteurs importants du monde maritime et portuaire, comme des transporteurs, Manutentionnaires, …. »

Après une formation « employé de Transit et Consignation » à la CCIH, Karl a effectué des périodes de stage et a occupé des emplois saisonniers au sein d’Armements et d’Agents Maritimes, représentés au Havre. Désormais assistant import au sein d’un cabinet de courtage maritime, il déclare : « par ce poste, je pratique l’anglais chaque jour. Mon travail me permet de mieux connaître les rotations des navires dans les différents ports. Pratiquer AP+ au quotidien m’a appris la procédure de mise en douane. Mon expérience m’enrichit également dans mes connaissances des différents pays et leurs ports ainsi que les alliances qui peuvent exister entre les Armements. »

Isabelle a suivi une formation de «Secrétaire des Services Portuaires» à CCI & CAUX Formations de Montivilliers. Après une première expérience dans la consignation import et un poste lui permettant la traduction de rapports d’expertise, elle devient Assistante Import dans un cabinet de courtage. Elle déclare : « mon expérience me permet de mettre en pratique la théorie acquise notamment sur AP+ mais également de mieux comprendre les échanges entre divers services. Cela me permet également de développer des relations et contacts avec la clientèle. Désormais je suis capable d’être réactive, de prendre des initiatives et de traiter un dossier navire depuis la déclaration des marchandises jusqu’à sa clôture.

 Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

L’Assureur Maritime

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En osmose avec les acteurs du commerce international, les assureurs et courtiers sont de véritables spécialistes. Partenaires de confiance, ils proposent des produits d’assurance taillés sur mesure pour des métiers spécifiques en perpétuelle mutation.

Le monde du transport et de la logistique mobilise des moyens impressionnants et engage des capitaux énormes  : songez aux quantités de marchandises transportées par voies terrestre, maritime, fluviale ou bien aérienne à travers le monde, mais aussi aux navires, véhicules, entrepôts nécessaires à leur transit et leur mise à disposition dans les meilleures conditions.

D’abord spécialisés dans la couverture du risque maritime, les assureurs et courtiers d’assurances maritimes au Havre, ont depuis, décliné leur expertise à l’ensemble de la chaîne logistique : armateurs, transporteurs routiers ou fluviaux, commissionnaires, acteurs de l’import / export sont aujourd’hui autant de profils différents qui interviennent à l’un ou l’autre des niveaux d’une chaîne elle-même internationale.

Au Havre, un pôle particulièrement actif et puissant s’est constitué autour de l’expertise en assurance des métiers de la logistique : une grande compagnie internationale : 5 courtiers spécialisés et agissant eux aussi pour des clients locaux, nationaux ou mondiaux ainsi qu’une cinquantaine d’autres agents font du Havre une place forte de l’assurance dite maritime.

Dans un monde où la contractualisation croissante des échanges conduit à un découpage très fin des responsabilités judiciaires, le rôle des assureurs et courtiers est devenu crucial pour des opérateurs logistiques dont le champ d’action est à géométrie variable (c’est-à-dire de plus en plus étendu) : le conseil et l’accompagnement du client tout au long de son évolution font partie de la mission des assureurs et courtiers.

Pour la souscription de produits de plus en plus fins, répondant à du sur-mesure et à une problématique toujours différente, les assureurs font appel à des technico-commerciaux proches des métiers de leurs clients. Les gestionnaires de sinistres ont, quant à eux, un bagage de juriste. Les courtiers font eux aussi appel à des juristes spécialistes du droit du transport (il existe une filière universitaire au Havre) ainsi qu’à des spécialistes du transport : la formation en alternance est un plus. D’autres profils en bac + 2 (toujours avec une forte dose de droit du transport) ou des commerciaux sont également recherchés. Ces métiers représentent près de 500 emplois directs au Havre et connaissent un fort développement.

Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

Ingénieurs et techniciens en études, aménagements et travaux

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Routes, ronds-points, quais, digues, hangars, zones industrielles…. la zone portuaire regroupe une multitude d’activités et d’infrastructures orchestrées par des professionnels spécialisés dans l’aménagement du port.

Zoom sur 3 de ces métiers, allant de l’aide à l’implantation d’entreprises en amont à la réalisation des travaux de génie civil « sur le terrain ». La raison d’être de ces professionnels : proposer aux entreprises les aménagements les plus adaptés à leurs besoins.

Planifier l’organisation de la zone portuaire, un équilibre à tenir pour ses aménageurs

Le domaine portuaire regroupe sur une surface de 10 000 ha, soit plus de 2 fois la surface de Paris, quelque 1 000 entreprises allant des filières industrielles à la logistique. Une grande diversité d’activités qui expriment chacune des besoins très différents en termes de services (alimentation en eau, électricité et gaz) et de dessertes (connexions routières, ferroviaires ou fluviales, accès maritimes…).

Accueillir les nouvelles entreprises, anticiper, planifier et proposer les surfaces les plus adaptées telle est la mission d’Hervé, Chef de Projet Aménagement. « Le port se construit comme un vaste réseau que nous nous attachons à développer en apportant à nos clients des réponses « plug and play » c’est-à-dire des solutions clé en main adaptées à leurs spécificités » souligne-t-il. Nous élaborons et faisons vivre des plans d’aménagement qui intègrent des besoins particuliers tout en garantissant une cohérence globale de ce vaste territoire au fort potentiel de développement.

 Témoignages :

Après un DESS en Génie Portuaire et Côtier, Hervé s’est notamment spécialisé dans l’aménagement de zones d’activités économiques avant d’arriver à ce poste. « C’est un métier transversal où l’on s’enrichit des compétences de chacun. Je suis en relation avec des experts de tous les domaines : économiques, logistiques…afin de proposer les aménagements les plus intelligents et répondant aux attentes de nos clients. »

La planification des travaux à terre au programme du bureau d’études

Chaque jour des infrastructures routières sont construites ou font l’objet de rénovations. C’est la mission de Sébastien, Responsable d’un Bureau d’Etudes Routes et Terre-Pleins. Une fois son DUT Génie Civil en poche, il devient Technicien d’études pendant 7 ans au service des aménagements portuaires.

Une expérience réussie qui lui a valu récemment une promotion en tant que Responsable. «Mon rôle est d’animer une équipe de techniciens d’études afin de traduire en projet de marché des plans ou des études d’aménagements. En premier lieu, nous affinons l’ensemble des composantes techniques des projets : tracé, nivellement puis, suite à une étude de dimensionnement, nous définissons la structure du projet (nombre, nature et épaisseur des couches constituantes de cette structure). Tous ces éléments, une fois validés permettent d’élaborer le cahier des charges technique et d’établir le projet de marchés.

Dans des cas particuliers, la fiabilité des plans en termes de capacité à écouler des volumes de trafic se vérifie avec des simulations sur logiciels et avec l’appui d’un autre service du Grand Port Maritime du Havre. Cette étape permet de simuler les flux de véhicules en condition réelle et le cas échéant amène des adaptations du projet. « Enfin, je sers de relais avec les équipes travaux qui pourront réaliser les opérations sur le terrain. En ce sens, c’est un métier qui demande beaucoup de rigueur et un vrai sens de la communication».

Réaliser les nouvelles infrastructures et entretenir les anciennes au cœur de l’activité Travaux Neufs et Maintenance

L’aménagement de la zone portuaire concerne aussi les infrastructures maritimes ! Avant toute construction d’un nouvel ouvrage (digue, quais…) des professionnels vérifient sa faisabilité et procèdent à leur pré-dimensionnement. Par exemple, un cahier des charges est établi selon des éléments précis : les dimensions, les critères de qualité et les contraintes imposées, le mode de rémunération…Une fois cette expertise terminée, les travaux sont exécutés par une entreprise sélectionnée après un appel d’offres. « Je suis chargé d’assurer une bonne rédaction du contrat de travaux et le contrôle de la réalisation jusqu’à la réception des travaux. En particulier, ma mission est de vérifier qu’un ouvrage est bien construit selon le respect du cahier des charges pour obtenir des infrastructures de qualité au juste prix et répondant aux attentes du client précise Christian, Responsable du Pôle Travaux Neufs, Maintenance et Surveillance des ouvrages. « Je m’occupe à la fois de la construction des nouveaux ouvrages mais aussi du maintien du patrimoine dans un bon état de conservation ».

Les infrastructures portuaires havraises qui regroupent 40 km de quai et 20 km de digues, font ainsi l’objet d’expertises pour ensuite être réparées et entretenues. Pour accéder à ce métier, Christian a obtenu un diplôme d’Ingénieur en génie civil. Des qualifications enrichies par de nombreuses expériences professionnelles sur plus de 20 ans, notamment sur les chantiers de Génie Civil ou encore tout dernièrement sur la construction de Port 2000.

Sources : multiples sources internet, ouvrages spécialises, témoignages (Pratic-Export,  fiches Pôle-emploi, Wikipédia, Onisep, CNRTL,  Umep à la Page…)

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