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Socrate, c’est parti !

Catégories associées : Transition énergétique

Le projet Socrate, déclinaison de l’Axe-Seine du projet Zone Industrielle Bas Carbone (ZIBaC), est maintenant lancé depuis l’annonce le 24 avril par le ministre délégué chargé de l’industrie, Rolland LESCURE, de l’attribution d’une subvention de 7,5 millions d’euros.

Cela permettra de lancer des études prospectives visant à la décarbonation des Zones Industrielles et qui préfigureront les investissements à venir.

Une première phase de 2 ans débutera en janvier 2024 et portera sur plus de 30 études pour un total de 15 millions d’euros.

Source : Newsletter Synerzip-LH décembre 2023

Un troisième lauréat de l’appel à projets “ZiBaC” sur l’axe seine

Catégories associées : Transition énergétique

Le Ministre délégué à l’industrie, Roland LESCURE a annoncé le 28 avril dernier, lors de sa visite à Gonfreville l’Orcher, le troisième lauréat de l’appel à projet « ZiBaC ».

Ce sont donc les associations d’industriels Synerzip-LH, Incase et Upside Boucles de Rouen avec Haropa Port qui ont été désignés lauréat ; le troisième après Dunkerque et Marseille.

Lancé en février 2022 par l’Ademe, l’AAP « ZiBaC » pour « Zone industrielle bas carbone » vise à financer des études pour la décarbonation des activités ; il prévoit l’accélération des projets et des transformations afin d’atteindre les objectifs de la transition énergétique d’ici 2030 et le « zéro » émission d’ici 2050.

« Cette nouvelle étape illustre la synergie des acteurs du territoire et vient récompenser les efforts engagés pour faire de l’axe Seine un pionnier de l’industrie bas carbone »

C’est donc une nouvelle association (actuellement en cours de création) nommée « Socrate » (Synergie pour une Organisation Collective et Raisonnées sur l’axe Seine), qui doit porter le projet dans le but d’obtenir un financement de ses études.

Par exemple, les industriels implantés sur les zones portuaires de Haropa Port sont mobilisés autour des techniques de captage du CO2, par le biais de différents travaux :

  • En 2018, l’étude CCUS, menée dans le cadre d’un groupement réunissant une dizaine d’industriels, la région Normandie, l’établissement portuaire, pour déterminer comment capter 91 % du CO2 produit annuellement d’ici 2040.
  • Dans la continuité de cette étude, les industriels Air Liquide, Boréalis, Esso S.A.F., TotalEnergies et Yara International ASA ont signé un MOU visant à développer une infrastructure de captage et stockage du CO2.
  • En mai 2022, un second accord a été paraphé pour lancer des études de faisabilité techniques, pour le transport, la liquéfaction, et le stockage en mer du Nord notamment.

D’autres exemples de projets :

  • Aller vers une efficacité énergétique et l’écologie industrielle et territoriale (EIT) via la réutilisation et le développement de réseaux communs d’énergie et de matière (chaleur, CO2, hydrogène, déchets, eau, oxygène…).
  • Définir une trajectoire de production et d’utilisation de carburants de synthèse (ammoniac « vert », e-SAF et e-méthanol) sur l’axe Seine.
  • Favoriser l’émergence de nouvelles filières (énergies renouvelables, hydrogène, carburants durables…).

L’Etat et l’Ademe attribueront donc une enveloppe de 7,3 millions d’euros pour des études dont le total atteint 15 millions d’euros. La Région Normandie devrait également apporter une contribution. 

Les deux premiers lauréats, Dunkerque et Marseille, obtiendront respectivement un peu plus de 13 millions et 4 millions d’euros.

Source : Clotilde Martin NPI 05.05.2023.

Green Deliriver a obtenu l’autorisation de naviguer au Bio-GNC sur la seine

Catégories associées : Transition énergétique

La Commission centrale pour la navigation du Rhin (CCNR), en charge de la réglementation de navigation
rhénane et européenne, à autorisé l’utilisation de bio-GNC pour un premier navire prévu pour relier les
grands hubs logistiques de la région parisienne avec le centre de Paris lors des jeux olympiques 2024.

Il s’agit de « la première autorisation européenne du secteur fluvial pour l’utilisation de bio-GNC comme
source primaire de carburant », ont indiqué le 23 mars le groupe d’ingénierie Segula technologies et le
gestionnaire du réseau de distribution de gaz GRDF. Totalénergies devrait gérer l’avitaillement en bio-GNC.

Sont également associés au projet, Haropa Port, VNF, le Syctom (gestion des déchets), le Sigeif (syndicat
gaz-électricité), la CCI des Yvelines et la Communauté urbaine grand Paris Seine & Oise.

L’italien NGV Powertrain fournira deux génératrices au bio-GNC qui permettront d’alimenter les batteries
électriques. De son côté, Green deliriver prévoit de construire un pousseur neuf électrique – bio-GNC, ainsi qu’une barge exploitables en 2025.

 

Source : Le Marin 27.03.2023. / Photo : www.initiativesfleuves.org

CMA CGM DEVRAIT BIENTÔT PRODUIRE LE BIOMÉTHANE POUR SES NAVIRES AU HAVRE

Catégories associées : Dynamique Portuaire, Transition énergétique

Le géant français du transport maritime CMA CGM prévoit de s’associer à l’Énergéticien Engie, pour la
construction d’un site de production de biométhane au Havre; soutenu par la communauté urbaine Le Havre Seine Métropole via le programme d’investissement d’avenir Le Havre Smart Port City.

Projet Salamandre

Prévue pour 2026, l’unité devrait produire du biométhane issu de déchets tels que les résidus forestiers secs mais aussi des papiers, plastiques et cartons (jusque-là enfouis car non recyclables) à hauteur de 11.000 tonnes par an.

Avec ce projet « Salamandre », d’un coût total de 150 millions d’euros, le groupe projette de produire jusqu’à 200.000 tonnes par an à l’horizon 2028.

CMA CGM sera le seul destinataire de la production du site, notamment pour son navire prupulsé au GNL, le « CMA CGM Jacques Saadé ». Quinze liaisons de la compagnie desservent chaque semaine le port Havrais.

Sources : Paris Normandie 05.07.2022 / Les Echos 01.07.2022.

LE CHIMISTE YARA POUSSE AU DÉVELOPPEMENT DE L’AMMONIAC CARBURANT

Catégories associées : Transition énergétique

Le 1er avril dernier, un accord de précommande de 15 stations d’avitaillement d’ammoniac carburant a été signé entre les Norvégiens Yara et Azane Fuel Solutions.

Ces stations et barges d’avitaillement pour navires seront déployées dans toute la Scandinavie. Le carburant devrait être de l’ammoniac liquéfié (-33°) afin de limiter les volumes de stockage.

« Pour ceux d’entre nous déjà engagés dans des navires neufs conçus pour ce nouveau carburant, cet accord est très important puisque cela signifie que tout sera en place quand les navires entreront en services » explique André Risholm / Project Management Viridis bulk carriers.

Le Chimiste souhaite promouvoir l’ammoniac vert (produit par électrolyse avec de l’électricité renouvelable), à la fois pour ses engrais et comme carburant
décarboné : « Nous sommes très fiers de ce projet qui permettra à Yara de posséder et d’exploiter le premier réseau du monde d’ammoniac carburant » Magnus Krogh Ankarstrand / Président de Yara.

Dans un premier temps, une installation pilote fera l’objet d’aides publiques. Devrait s’ensuivre le déploiement des 15 stations-services d’ici à 2024.

BIODIESEL ET BIENTÔT HYDROGÈNE POUR SOGESTRAN

Catégories associées : Transition énergétique

L’armement fluvial CFT expérimente depuis le mois de février le PUR-XTL, un gasoil de synthèse à base d’huiles et graisses recyclées, pour son automoteur fluvial Sandre. Lire la suite

HYDROGÈNE DÉCARBONÉ : UN PREMIER SITE DE PRODUCTION À PORT-JÉRÔME

Catégories associées : Transition énergétique

Le 8 mars dernier, le ministre de l’Économie / Bruno LE MAIRE s’est rendu sur le site d’Air Liquide (premier producteur d’hydrogène en France) pour la pose de la première pierre de son prochain site normand de production d’hydrogène vert. Lire la suite

CARBURANTS MARITIMES DURABLES : LE RAPPORTEUR DU PARLEMENT EUROPÉEN NE RENFORCERA PAS LA PROPOSITION

Catégories associées : Transition énergétique

Suite aux débats du 2 Février dernier en commission des transports sur le sujet des carburants maritimes durables, Jörgen WARBORN / Rapporteur du parlement Européen à indiqué qu’il n’élargirait pas le champ d’application géographique de la proposition de la Commission Européenne (50% de l’énergie utilisée lors des voyages de et vers les pays tiers couverte par les obligations de limitation d’intensité carbone).

Les navires de moins de 5.000 tonnes ne devraient pas non plus être visés par cette mesure. Un assouplissement des propositions est même envisagé pour ce qui concerne l’électricité à quai puisqu’il ne souhaite appliquer cette obligation que pour les plus grands ports (ceux du réseau transeuropéen de transport).

En revanche, les députés n’échapperont pas au débat porté sur les types de carburant à soutenir.

Source : Contexte 04.02.2022

UMEP TV – Découvrez la Commission R&D

Catégories associées : Innovation, Transition énergétique

[A VOIR]

Découvrez le dernier numéro des vidéos présentant les Commissions de travail de la Fédération !

François LEBRETON vous présente la Commission Recherche et Développement qu’il préside et ses partenaires.

Les objectifs principaux de cette Commission sont la veille et l’étude des évolutions technologiques et environnementales. Les innovations susceptibles d’avoir un impact pour les Membres de la Communauté Portuaire sont au cœur de ses travaux.

UMEP : Une Communauté résolument tournée vers l’Avenir !

Plus d’informations sur : www.umep.org et @umepfederation sur Twitter et LinkedIn.

#UnitedKnowHow 

Sous-titrage intégré.

 

Maritime : La proposition de l’Union Européenne sur les émissions de CO2 reportée

Catégories associées : Maritime, Transition énergétique

L’Union Européenne présentera prochainement une proposition législative concernant la réduction des émissions du transport maritime, au moyen d’une politique
de tarification du carbone qui pourrait inclure le système européen d’échange de quotas d’émission (SCEQE ou ETS).

Le maritime devra donc patienter pour connaître les exigences des carburants utilisés pour réduire leur empreinte carbone. L’exigence portait sur la diminution « d’au
moins 55 % » des émissions de gaz à effet de serre par rapport à 1990. Cet objectif devra être atteint par l’ensemble des membres de l’Union Européenne et non pas
individuellement.

Le Fit For 55, paquet législatif, sera présenté non pas en Juin 2021 comme initialement prévu mais le 14 Juillet prochain.

Le monde maritime, qui a admis la nécessité de payer les émissions de gaz à effet de serre qu’il génère, souhaite une solution de taxation carbone et non pas le système d’échange d’émissions de quotas. Son souhait est que l’OMI propose un prix mondial. L’examen de la proposition d’une taxe de 100 $ la tonne pour les émissions de navires est prévu en Juin prochain au Comité de prévention de l’environnement. La Commission Européenne indique que le transport maritime dans l’espace européen représente 11 % de toutes les émissions dues aux transports de l’Union, et 3 à 4 % des émissions totales de CO2 de l’Union Européenne.

Ammoniac : publication des règles et recommandations

Le Bureau Veritas vient de publier les règles et recommandations pour les navires amenés à utiliser de l’ammoniac, présenté comme carburant alternatif pour décarboner le transport maritime.

En effet, l’ammoniac n’émet pas de CO2 et pas d’émissions nocives. De plus, ce composé chimique est difficilement inflammable mais il est très toxique et corrosif. Il nécessite donc un système de stockage et de manutention spécifique, et sa combustion peut émettre de l’oxyde d’azote, sauf si les fumées sont traitées et la combustion optimisée.

Ainsi, Bureau Veritas a publié une notification sur les nouvelles constructions prêtes à utiliser de l’ammoniac. « Elle certifie que le navire a été conçu et construit pour être converti plus tard à l’usage d’ammoniac. La notation cible les espaces et les éléments structurels qui abriteront les réservoirs, équipements de manutention du carburant, installations de traitement des vapeurs d’ammoniac. Elle porte également sur les exigences spécifiques pour la conversion des moteurs et chaudières ».

« Cette notification préfigure un règlement complet pour la classification des navires utilisant de l’ammoniac comme carburant : le NR 671. Il concernera principalement les aspects de sécurité de la gestion de l’ammoniac dans les réservoirs de stockage, la tuyauterie et le soutage ».

Sources: JMM – Mer et Marine 06.05.2021

Illustration de couverture : hellogreen.it

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